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Attendons les étoiles
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15 janvier 2007

romantisme sous l'eau

Pourquoi ce titre ? Parce qu'en me nettoyant j'ai inventé au fur et à mesure une petite chanson. Hélas comme je n'emmène ni dictaphone ni stylo, ce ne sera resté qu'une invention fugace... Mais je vais tâcher de m'en inspirer. Ca ne s'adresse à personne en particulier, même si un fait récent a probablement influencé certains passages (oui je sais, je ne suis pas sage, même mes phrases le disent). Peut-être que ce que j'écris ici se déroulera dans le futur (vu que ça n'appartient ni à mon passé ni à mon présent...)
(ce poème a été modifié plusieurs fois depuis 21h3O, et ce n'est probablement pas fini)

J'aurais voulu avoir
Votre dernier silence
Votre dernier espoir
Votre dernier regard
Mais je n'aurais eu
Que votre dernière absence
Votre ultime désespoir
Votre dernier dédain

J'aurais voulu être votre dernière danse
Et la dernière dans vos bras
Mais dans cette effrénée cadence
Mon vertige troublait nos pas

Vous... qui étiez "tu"
Vous... vous êtes tu

Tu avais posé dans mes étoiles tes yeux
sur mes épaules tes mains
Sur mes fissures tes mots
Pour que ce mal soit mieux
Ce mal d'être seule et d'affronter demain

Mais c'était trop facile
Et j'étais trop fragile
C'était donc impossible
Et j'étais impassible

Alors... Au bout du temps
J'aurais crié "va-t-en
N'entre plus dans mes rêves
N'embrasse plus mes lèvres"

Mais avant ces cris de peur
Tu t'enfuis de mes terreurs

Alors de ma mémoire
Jaillit un coeur-grimoire
En quête de formules à inventer
Et de gentils démons à invoquer
Cherchant tous les mots tendres
Qui te faisaient m'attendre
Et cherchant à comprendre
Pourquoi je n'ai rien vu
Pourquoi je n'ai rien su
Pourquoi cette peur du bonheur
Pourquoi j'ai mal au coeur

Mais c'était si facile                                Mais c'était si difficile
Et j'étais si fragile                                   J'étais si malhabile
C'était donc impossible                            Je n'y parvins jamais
Je fus trop impassible.                             Tu ne revins jamais.

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